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author | RochDLY <roch.delannay@gmail.com> | 2024-06-02 20:45:53 +0200 |
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ajout des dernières version html de l'ebauche de l'intro et du billet sur la saisie d'un texte avec les nouvelles refs
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D’autres langages de balisage, notamment ceux qualifiés de légers comme le Markdown, emploient des symboles tels que <code>=</code> ou <code>#</code> pour structurer les informations à l’intérieur d’un document. Contrairement à ce que nous avons vu avec le XML, la signification des éléments structurants n’est pas forcément explicite pour une lecture humaine, même si l’on peut la deviner ou l’apprendre.</p> <p>Le terme format est avant tout un terme technique, il délimite les caractéristiques d’un objet. Ces caractéristiques sont formulées par un certain nombres de données, d’instructions, ou de règles. L’objectif est de disposer d’un consensus pour dialoguer autour d’un objet ou de faire communiquer des processus qui traîtent ou qui produisent des formats.</p> -<p>Le format est une contrainte technique dans des environnements qui peuvent être très divers : formats d’objets physiques comme le papier, formats informatiques que nous connaissons par l’extension des fichiers sur nos ordinateurs, ou formats littéraires concernant l’agencement des mots et des phrases. Nous nous concentrons ici sur les formats informatiques. En fonction des nécessités d’un système d’exploitation, d’un programme informatique ou d’une plateforme en ligne, un format caractéristique sera requis. Un format qui n’est pas standard (ces caractéristiques doivent être décrites), qui n’est pas ouvert (il est possible de comprendre comment le format fonctionne) ou qui nécessite un environnement très spécifique pour être interprété ou transformé va générer beaucoup d’obstacles pour son utilisation.</p> +<p>Le format est une contrainte technique dans des environnements qui peuvent être très divers : formats d’objets physiques comme le papier, formats informatiques que nous connaissons par l’extension des fichiers sur nos ordinateurs, ou formats littéraires concernant l’agencement des mots et des phrases. Nous nous concentrons ici sur les formats informatiques. En fonction des nécessités d’un système d’exploitation, d’un programme informatique ou d’une plateforme en ligne, un format caractéristique sera requis pour agencer et organiser les informations selon les règles qui le définissent [bachimont_ingenierie_2007]. Un format qui n’est pas standard (ces caractéristiques doivent être décrites), qui n’est pas ouvert (il est possible de comprendre comment le format fonctionne) ou qui nécessite un environnement très spécifique pour être interprété ou transformé va générer beaucoup d’obstacles pour son utilisation.</p> <p>La contrainte du format est liée à d’autres contraintes comme la compatibilité (quel format peut être lu par quel programme ou logiciel ?), l’interopérabilité (est-ce que le format peut être utilisé de la même façon quel que soit l’environnement ?), la dépendance (de quoi un système a-t-il besoin pour traiter le format ?) et les droits associées (est-ce que le format peut être lu, modifié ou partagé ?).</p> -<p>Si le but du format est de constituer une série d’informations compréhensibles, utilisables et communicables, il reste une contrainte forte pour les chaînes de publication. Que ce soit en tant que format d’entrée, format pivot de transformation ou format de publication – nous reviendrons sur les transformations et les artefacts publiables dans le chapitre 4 –, il déterminera le fonctionnement de la chaîne.</p> +<p>Si le but du format est de constituer une série d’informations compréhensibles, utilisables et communicables, il reste une contrainte forte pour les chaînes de publication <span class="citation" data-cites="mourat_vacillement_2020">(Mourat, 2020)</span>. Que ce soit en tant que format d’entrée, format pivot de transformation ou format de publication – nous reviendrons sur les transformations et les artefacts publiables dans le chapitre 4 –, il déterminera le fonctionnement de la chaîne.</p> <p>Comme nous l’avons déjà mentionné, il y a trois formats centraux dans l’éditeur de texte Stylo : le Markdown pour le corps du texte, le YAML pour les métadonnées et le BibTeX pour les références bibliographiques. Chacun de ces formats a sa propre histoire et ses propres spécifications. Afin de mieux comprendre la structuration des informations dans Stylo, nous allons passer en revue certaines des particularités de ces formats et de leur implémentation dans l’éditeur.</p> <p>Mardown est un langage de balisage léger créé en 2004 par John Gruber<a href="#fn28" class="footnote-ref" id="fnref28" role="doc-noteref"><sup>28</sup></a>. Sa syntaxe, beaucoup plus légère et moins verbeuse que le HTML dont il est issu, permet de structurer et de décrire sémantiquement le texte. Il a été pensé pour pouvoir être converti facilement vers d’autres formats comme HTML, LaTeX ou PDF. Markdown se distingue des autres langages de balisages légers car il est déclinable en différentes variantes (ou saveurs). Chacune d’entre elles ajoute une particularité dans la syntaxe Markdown. Parmi les plus populaires, on retrouve :</p> <ul> @@ -457,6 +457,9 @@ Merzeau, L. (2013). <span>É</span>ditorialisation Collaborative d’un <span>É <div id="ref-mille_internet_2014" class="csl-entry" role="listitem"> Mille, A. (2014). <span>D’Internet au web</span>. In <em><span>Pratiques de l’<span>é</span>dition num<span>é</span>rique</span></em>. Les Ateliers de [sens public]. </div> +<div id="ref-mourat_vacillement_2020" class="csl-entry" role="listitem"> +Mourat, R. de. (2020). <em><span>Le vacillement des formats : mat<span>é</span>rialit<span>é</span>, <span>é</span>criture et enqu<span>ê</span>te : le design des publications en Sciences Humaines et Sociales</span></em> [Thèse de doctorat]. Universit<span>é</span> Rennes 2. +</div> <div id="ref-muller_lintermedialite_2000" class="csl-entry" role="listitem"> Müller, J. (2000). <span>L’interm<span>é</span>dialit<span>é</span>, une nouvelle approche interdisciplinaire : perspectives th<span>é</span>oriques et pratiques <span>à </span> l’exemple de la vision de la t<span>é</span>l<span>é</span>vision</span>. <em>Cin<span>é</span>mas : revue d’<span>é</span>tudes cin<span>é</span>matographiques / Cin<span>é</span>mas: Journal of Film Studies</em>, <em>10</em>(2-3), 105‑134. <a href="https://doi.org/10.7202/024818ar">https://doi.org/10.7202/024818ar</a> </div> diff --git a/docs/posts/2024-05-27-ebauche-introduction-these.html b/docs/posts/2024-05-27-ebauche-introduction-these.html new file mode 100644 index 0000000..4af8f36 --- /dev/null +++ b/docs/posts/2024-05-27-ebauche-introduction-these.html @@ -0,0 +1,72 @@ +<!DOCTYPE html> +<html lang="fr" xml:lang="fr"> + <head> + <meta charset="utf-8"/> + + <meta name="viewport" content="width=device-width, initial-scale=1.0, user-scalable=yes" /> + + <title>Roch Delannay | Ébauche d’une introduction pour la thèse</title> + + <meta name="author" content="Roch Delannay" /> + + <meta name="description" content="Blog | Carnet de recherche de Roch Delannay" /> + + <meta name="dcterms.date" content="2024-05-27" /> + + <meta name="generator" content="Pandoc, GNU make" /> + <!-- pandoc - https://pandoc.org/ --> + <!-- gnu make - https://www.gnu.org/software/make/ --> + <link rel="stylesheet" href="/css/styles.css" /> </head> + <body> + <header class="main-header"> + <nav class="navbar"> + <ul> + <li><a href="/">Accueil</a></li> + <li><a href="/pages/publications.html">Publications</a></li> + <li><a href="/pages/cours.html">Enseignements</a></li> + <li><a href="/pages/presentations.html">Présentations</a></li> + <li class="right"><a href="/index-cache.html"></a></li> + </ul> + </nav></header> <div class="side"> + + <nav class="toc"> +<ul> +<li><a href="#idée-de-plan" id="toc-idée-de-plan">Idée de plan</a></li> +</ul> + </nav> + </div> + <div class="container"> + <header class="header-bloc"> + <h1>Ébauche d’une introduction pour la thèse</h1> +<!-- --> + <time>2024-05-27</time> +<!-- <p>Roch Delannay</p> + --> + </header> + <div class="content"> +<h2 id="idée-de-plan">Idée de plan</h2> +<ol type="1"> +<li>Détailler le contexte de la thèse (raconter les traces intimes de cette thèse qui commence à être lue, son environnement d’écriture, etc.)</li> +<li>Problématisation du sujet et de la thèse défendue</li> +<li>Définition de l’intime</li> +<li>Inscription de la recherche dans les champs suivants: +<ul> +<li>de l’infocom : étude d’un dispositif +<ul> +<li>le point de départ pourrait être la citation de L.Merzeau sur les documents intermédiaires calculés par la machine pour passer les différents systèmes informatiques. En faire une critique et que justement il est nécessaire de les remettre en question.</li> +</ul></li> +<li>humanités numériques (faire un rappel de l’histoire des DH et pourquoi je m’y retrouve). Faire le lien avec la partie précédente. DH = remise en question de l’objet de recherche depuis une vision numérique</li> +<li>étude des médias (ces deux axes nous mènent à l’étude des médias. Plutôt que de le prendre sous l’axe de la médiologie comme pouvait le proposer Louise, on change de prisme pour celui du nouveau matérialisme, du posthumanisme et de l’intermédialité.</li> +</ul></li> +<li>Annonce du plan</li> +</ol> + </div> + </div> +<footer> + <div> + <p>CC BY 4.0 Roch Delannay</p> + <p>Créé avec Pandoc et Make</p> + <a href="/pages/colophon.html">Colophon</a> + </div> +</footer> </body> +</html>
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